Musicien classique de formation, j'ai découvert la technique Alexander assez tardivement, après des années d'errance.
Le stress, les inflammations musculaires, la fatigue morale et physique, la perte de confiance ont été mon lot quotidien. J'ai été confronté très tôt à la réalité qu'un mauvais usage de mon corps dans ma pratique de l'instrument pouvait avoir des conséquences néfastes.
Ma carrière de pianiste a débuté par l'accompagnement des danseurs et chanteurs. Les concerts comme chambriste, accompagnateur ou soliste m'ont confronté aux exigences et tensions inhérentes à cette activité.
Mais c'est à travers l'enseignement et la relation construite avec mes élèves que j'ai compris qu'il fallait faire quelque chose, à la fois pour moi-même et pour les autres.
C'est alors poussé par un désir fort de changement que je me suis lancé à la découverte de la technique Alexander.